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Guy Millière #fundie dreuz.info

The submission to Islam continues in France

(...)

The plates that are supposed to remember what happened were once again visible and we could once again note what was written: The victims, so says the plate, were assassinated. The words "djihad", "radical islam" and "islamism" are words that are nowadays omitted as much as possible. The word "terrorism" itself is set aside.

The word "murder" has still the right to be cited, but seen how things are going, it could disappear, because it could be seen as offensive to the assassins.

This is how we erase the collective memory. This is how the submission continues.

Original French:

La soumission à l’islam avance en France

(...)

Les plaques censées rappeler ce qui s’est passé ont été visibles une fois de plus et on a pu constater une fois de plus ce qui y était inscrit: les victimes, disent les plaques, ont été assassinées. Les mots “djihad”, “islam radical” ou “islamisme” sont des mots qui se trouvent désormais omis autant que faire se peut. Le mot “terrorisme” lui-même est laissé de côté.

Le mot “assassinat” a encore droit de cité, mais au train où vont les choses, il pourrait lui-même disparaître un jour, car il pourrait paraître offensant pour les assassins.

C’est ainsi qu’on efface la mémoire collective. C’est ainsi qu’avance la soumission.


Magali Marc #conspiracy dreuz.info

According to the Times, there are only two kinds of people that doubt Mueller's credibility: the madmen or the traitors.

This is why we, the detractors, are accused of engaging in a conspiracy that strengthens adversaries like Russia and creates a "constitutional crisis". The cause of this aggression is self-evident - The Times is convinced that its mission is to destroy president Trump and, concerning Hillary Clinton, still can't accept that Trump was elected legitimately.

Consider the fact that a dozen of columnists in the editorial pages of the journal are Never-Trumpers. Either it's a remarkable coïncidence, or it's a decisive test that everyone has to pass the moment of hiring.

But the journal, because of a bad habit they had during the presidency of Obama, isn't happy enough when it's just defending its positions. They behave themselves like a tool of propaganda for the party, adopting a coercive approach towards those that have differing viewpoints. Objections that we have are demonized and considered to be heretic.

Original French:

Selon le Times, il n’y a que deux sortes de personne qui peuvent mettre en doute la crédibilité de Mueller: les fous ou les traîtres:

Ainsi nous, les détracteurs, sommes accusés de nous engager dans une conspiration qui enhardira des adversaires comme la Russie et produira une «crise constitutionnelle».
La cause de cette agressivité est évidente – le Times demeure convaincu que sa mission consiste à détruire le président Trump, et, à l’instar d’Hillary Clinton, ne peut toujours pas accepter l’élection de Trump comme légitime.

Prenez en considération le fait que la douzaine de chroniqueurs des pages éditoriales du journal sont tous des Never-Trumpers. Soit, il s’agit d’une remarquable coïncidence, soit cela vient d’un test décisif qu’on doit passer au moment de l’embauche.

Mais le journal, à cause d’une mauvaise habitude contractée pendant la présidence de Barack Obama, ne se contente pas de défendre ses positions. Il se comporte comme un outil de propagande de parti, adoptant une approche coercitive envers ceux qui ont des points de vue différents. Les objections qu’on leur fait sont diabolisées et considérées comme hérétiques.